• Le vivant - Cours n°3

     

    Le vivant - Cours n°3

    Le vivant - Cours n°3

     

     

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    Le vivant - Cours n°3

     

     

    Socrate met en évidence dans sa philosophie qu'il n'a pas de définition de l'Homme : elle n'est pas donnée.

     

    Sartre dit que "la définition de l'Homme est de ne pas avoir de définition".

     

    Les philosophes mettront en avant que l'Homme ne peut avoir de nature : la nature de l'Homme est de ne pas avoir de nature.

     

    La nature de l'Homme est de ne pas avoir de nature... Mais alors, comment l'Homme advient-il dans le monde ?

     

    Pour fabriquer un objet, avant qu'il n'existe, il faut que le concept de l'objet soit propre à l'artisan qui le fabrique. L'idée de cet objet ; son essence est traduite par la connaissance de son propos et de sa recette. Il a une détermination de la définition par l'essence.

    => Il faut connaître l'essence de la définition.

     

    La fabrication est la technique = un savoir-faire double : un savoir pratique et un savoir théorique.

     

    Est-ce que les êtres naturels sont les projets d'une idée ?

     

    Les êtres naturels qui ne sont pas produits par l'Homme, on les appelles des "choses".

     

    Sartre dit que Dieu peut être assimilé à un artisan. C'est pourquoi il parle d'un "Dieu créateur".

     

    Si l'on croit que c'est Dieu qui a crée l'Homme, cela signifierait que l'Homme aurait donc une essence. Et si l'Homme est à l'image de Dieu, comment expliquer le mal ? Car l'essence précède les hommes. Dieu est censé être bon : ce qui voudrait dire qu'il a raté l'Homme car l'Homme fait du mal.

     

     

    2 conséquences :

     

    ----> Tous les hommes sont définis sous la même idée. Il ne devrait donc pas y avoir de problèmes de reconnaissance.

    => On appelle cela "l'essence commune des hommes". Il ne devrait donc pas y avoir de discrimination, de racisme.

    L'essence commune correspond au concept qui est l'intellect. Nous ne savons pas à quoi pensait Dieu quand il pensait à l'Homme.

    Chaque individu peut donc se revendiquer comme étant l'homme que Dieu avait en tête. C'est pour cela que tous les hommes ne se considèrent pas égaux. Ils produisent alors de la violence.

     

     

    ----> "Si jamais le coupe-papier est défectueux, l'artisan est responsable" : il en va de même pour Dieu et les hommes.

     

    L'artisan est responsable soit parce qu'il avait une mauvaise idée ou une mauvaise façon de créer.

    Si c'est la cas, Sartre dit de remplacer le mot Dieu par le mot "gène" : ce serait donc nos gènes qui nous définissent.

     

    Mais Dieu ne peut pas être responsable du mal car c'est un être parfait.

    Sartre dit : "Si le mal advient, il faut dire que c'est de la faut de l'Homme". L'homme invente des choses que Dieu n'avait pas créé.

    Sartre dit : "L'existence humaine montre une liberté en existence". Il faut donc penser l'Homme non pas comme un objet mais comme UN SUJET. Il est l'auteur et l'acteur de son existence.

    Sartre dit : "L'Homme est son propre créateur". Car l'Homme n'est libre qu'en le devenant.

     

    À quelle condition est-il possible de considérer l'Homme comme un sujet libre ?

     

    Un objet est ce qui est déterminé à l'avance.

     

    Réponse de Sartre :

     

    Sartre dit : "Ce n'est pas l'essence qui précède l'existence. L'existence précède l'essence".

    => Il n'y a donc pas de définition donnée de l'Homme car c'est au cours de sa vie que l'Homme se définit.

     

    Sartre dit : "L'Homme est ce qu'il sera".

    => On ne sait donc pas à l'avance ce que sera notre existence.

     

    Il n'y a pas d'idéal :

    Sartre dit : "L'Homme est l'être qui s'invente".

    => L'Homme est donc ce qu'il fait et il est libre qu'en le devenant.

     

    Mai l'Homme est un être qui peut jouer un personnage. Est-ce vraiment la vraie vie ?

     

    Qu'est-ce que la vraie vie ?

     

    Pour exister, il faut d'abord un corps dans lequel l'existence est située.

    Être un Homme, c'est inventer l'idée de l'Homme ; de l'humanité.

     

    Sartre dit : "On en revient à la fabrication, donc à la négation de la liberté".

     

    L'Homme a une existence qui est inauthentique. C'est ce que l'on appelle "l'essence de la vie" : ce que la société me dit de faire de ma vie, quitte à sacrifier mes propres désirs.

     

    Selon Sartre, la vraie vie est de mener une existence humaine qui mène à faire le "bien humain".

     

    Comment dois-je vivre pour prouver que l'existence précède l'essence ? (= jouer un personnage social).

     

    Pourtant, l'Homme a une conscience = capacité à pouvoir s'écarter et se mettre à distance du reste, et s'abstraire de toutes les détermination sociales et physiques.

    => Alors, qui est-il réellement ? Quelle définition lui donner ?

     

     

    5 ème définition de la philosophie :

     

    Philosopher est une activité de l'esprit qui met en jeu l'Homme comme sujet, c'est-à-dire comme un être au pouvoir de se déterminer et qui pose la question de l'idée d'humanité du côté du bien.

     

     

    2 critiques :

     

    ----> Sartre parle très peu du corps. Or, pour exister, il faut un corps. Notre existence est encrée dans notre corps ; dans une situation. Il y a donc des caractéristiques que l'on n'a pas choisi.

     

    Sartre répond que nous sommes de mauvaise foie de ne pas comprendre que nous sommes responsables des choix que l'on fait : le choix d'assumer ou de ne pas accepter ses caractéristiques biologiques.

    Ex : Des caractéristiques que l'on croit naturels alors que c'est nous qui les avons choisi : être une fille ou un garçon, c'est accepter ou non que fasse partie de son corps le caractère féminin ou le caractère masculin.

    => Il s'agit de l'acceptation de soi.

     

    Il y a toujours la possibilité de se détacher de ses détériorations physiques. Donc, de refuser que quelqu'un réduise une autre personne.

    => C'est ce que l'on appelle la conscience = capacité de se mettre à distance.

    Être un sujet s'abstrait de toutes les déterminations sociales et physiques.

     

     

    ----> Sartre dit : "Être homme, c'est inventer l'Homme". C'est-à-dire inventer l'idée d'humanité.

    => Il n'y a donc pas de modèle.

     

    Sartre dit : "En tant qu'individu, j'ai le choix de mes actions. Mais je dois choisir des actions qui ont de la valeur".

    => Cela vaut mieux pour la personne car cela a de la valeur.

     

    Toute action a de la valeur.

    => Est-ce que l'action que j'ai choisi avait été choisi par n'importe qui ?

    => Faire de telle manière que je fasse surgir du bien.

     

    Mais qu'est-ce que le bien ?

     

    Sartre dit : "Tant qu'un homme vit dans l'injustice, je ne peux pas me considérer comme libre".

     

    De quelle manière exister pour faire advenir l'idée d'humanité ?

    De quelle manière doit être mon existence pour incarner l'idée de l'humanité ?

    Quelles sont les facultés que je dois travailler ?

     

    Réponse :

     

    Il faut mettre en jeu la vertu. : le courage.

    Car être une Homme, c'est : - penser

                                                       => être un Homme ne va pas de soi.

     

    Le courage d'être un Homme :

     

    Tous les êtres vivants sont des lâches. => consolation d'être faible (mais cela dépend tout de même des circonstances).

     

    Existence et culture :

     

    La Culture produit à la fois une ouverture à l'Homme et de la violence.

     

    Exister met en jeu le corps. Notre existence est charnelle. Le corps met en jeu la qualité d'être vivant. Les fonctions du corps sont assurées aux fonctions des organes.

    L'Homme ne se contente pas d'avoir un corps organique. Ce que TOUT homme entreprend, c'est de s'arracher à la Nature.

    => Exister pour l'Homme, c'est se transformer. C'est ce que l'on appelle la Culture.

     

     

    Transition et problèmes :

     

    L'Homme a une existence : la sortie hors de soi des détermination biologiques.

     

    Nous sommes une liberté. Nous incarnons la liberté.

     

    Incarner, c'est posséder un corps.

     

    1 ère ambivalence :

    L'Homme se différencie de l'animal de base.

     

    2 ème ambivalence :

    L'Homme est un être social mais produit de la violence.

    Kant parle d' "insociable sociabilité".

     

    3 ème ambivalence :

    L'Homme est un être rationnel et un homme de désir.

    L'Homme ne peut pas refuser le désir.

     

    Comment articuler la raison et le désir qui s'opposent ?

     

    4 ème ambivalence :

    L'Homme est un être qui transforme la nature par le travail. Le travail est un moyen pour l'Homme de se libérer de la Nature.

    Mais le travail est aussi une façon de s'asservir et de s'aliéner (= la servitude (elle est souvent volontaire)).

     

    5 ème ambivalence :

    L'Homme cherche à affirmer son indépendance, sa façon de penser. Mais il se plie facilement à l'opinion publique.

     

    6 ème ambivalence :

    L'Homme est un être capable de dévoiler du monde ce qui n'est pas visible.

    Il est capable de trouver une présence invisible dans le monde : c'est-à-dire le beau.

     

    L'Homme a une puissance créatrice. Mais il crée une tendance qui est le conservatisme. L'Homme est conservatrice : il a une tendance à répéter les coutumes, les choses...

     

    * Traité politique, Spinoza :

    Dans cet ouvrage, Spinoza dit : "J'ai tâché de ne pas rire des actions des hommes, de ne pas les déplorer, encore moins de les maudire, mais seulement de les comprendre".

     

    * Les bienveillances, Littell :

    Littell présente le nzzi comme étant une personne très cultivée : autrement dit, c'est un savant.

     

    Quelles sont les facultés que l'Homme doit réaliser pour exister dans le monde ?

     

    Exister implique d'avoir un corps.

    L'humanité est incarnée dans un corps.

     

    Quel est ce corps ?

     

    Exister, c'est s'arracher à la Nature. La Nature passe par la technique, les outils, le travail.

    => L'Homme façonne la Nature : il est un artisan.

     

    La Culture est le mouvement par lequel l'Homme cherche à s'élever de la Nature.

     

    La première chose que l'Homme va transformer et façonner, c'est son corps. C'est à travers et par le corps que la Nature se transforme.

    => C'est ce que l'on appelle le modelage du corps. Les techniques du corps sont modifiées. Ex : les vêtements, le maquillage, etc.

     

    Rien de ce que l'on a sur notre corps n'est naturel.

     

    Marcel MAUSS a écrit un petit article qui s'appelle Les techniques du corps.

     

    Le langage, les rapports sociaux, les rapports sexuels, le sommeil, la marcher, la sexualité (découverte et la mise en place de l'érotisme)... rien de tous cela n'est naturel.

    => L'arrachement à la Culture a pour but de permettre aux hommes d'organiser des rapports autres que des rapports de force.

     

    L'Homme va s'opposer à la Nature car il se cultive.

     

    La Culture s'oppose à la Nature.

    En grec : nomos  ≠  phusis

                          ↓                ↓

                          ↓                 la nature ; la spontanéité

                 la convention (ce qui est institué par l'Homme)

     

    L'existence passe par la convention. Notre existence est conventionnelle. Elle est opposée à la Nature.

     

     

    La diversité des cultures :

     

    Exister, c'est vivre au sein d'une société.

    La société est première car tout ce qui nous caractérise en tant qu'Homme (ex: la marche, le langage, le rire,...) est rendue possible par la société.

     

    Car ces caractéristiques nous ne les avons pas à la naissance. Nous les devons à ceux qui nous entoure.

     

    Naître au monde, c'est naître dans un monde déjà façonné par l'Homme.

    Parler à un bébé, c'est lui donner la possibilité d'exister. C'est la même chose pour la marche, le rire,...

     

     

    Regarder le film de Lucien Malson, L'enfant loup.

     

     

    Éduquer un enfant, c'est lui apprendre à s'arracher de la Nature et lui apprendre à dire "NON" à ses désirs. Mais ce n'est pas toujours le "NON" qu'on lui apprend.

     

    Mais les manières que l'Homme s'arrache à la Nature sont différentes.

     

    C'est le passage de formes de cultures différentes. EX : La Religion.

     

    Les différentes cultures se traduisent par des normes, des croyances, des traditions qui sont partagés par une langue commune.

    => Ils vont induire et avoir des conséquences sur la manière que les hommes s'arrachent à la Nature.

     

    La société n'est pas un ensemble d'individus qui sont les uns à côté des autres. Il faut qu'ils soient les uns AVEC et POUR les autres.

    => cela a des influences sur le corps et l'individu. La manière de voir le monde est façonnée par la société dans laquelle chaque individu vit.

     

    La diversité des cultures est ce qui nous permet d'être "Homme" mais cela est aussi un obstacle à l'humanité.

    Les cultures se renferment entre elles. EN effet, chaque culture cherche à se différencier des autres pour affirmer que ses propres moeurs, ses propres croyances, ses propres normes, ses propres idéologies sont mieux que les autres et que c'est elle qui manifeste l'humanité.

    => Tendance appelée l'ethnocentrisme.

     

    Cette tendance se traduit de 2 manière :

     

    * Une culture ne peut vivre qu'en étant ouverte sur une autre culture. L'identité culturelle est dynamique. Elle va emprunter et rejeter des choses des autres cultures : il y a donc des échanges.

     

    Le vivant - Cours n°3  Une culture qui n'a pas d'échanges est une culture qui va mourir = l'oublie qu'une culture vit par relation aux autres cultures.

     

    * Mais chaque culture déconsidère l'autre culture et la traite de "barbare".

    => Il y a une universalité de la croyance en barbarie en l'Homme qui ne pratique pas la même culture.

     

     

    Ces deux points font que chaque culture produit de la violence. C'est une violence qui n'est pas naturelle.

    => La violence est le produit de la culture. Ex : Donner la mort à un être vivant de façon pas naturelle grâce à des objets de torture.

     

    Strauss a écrit dans les années 1950 Races et histoire pour expliquer le racisme.

     

    Chaque culture va avoir tendance à considérer que ses propres normes, moeurs et idéologies sont évidentes, spontanées et naturelles.

    => Les cultures vont oublier qu'elles sont conventionnelles.

     

    Chaque culture va produire une seconde nature qui serait l'acceptation d'un donné qui lui semble aller de soi. Ex : La famille est purement conventionnelle.

     

    Il y a une tendance de la part des hommes de couler leur existence dans des normes sans réfléchir des valeurs, des croyances (= sans avoir un regard critique).

    => Il y a une tendance des hommes à accepter sans réfléchir la tradition, la culture... qui leur sont enseigné par leurs sociétés respectives.

     

    Le courage de penser par soi-même :

     

    Qu'est-ce que Les Lumières ?

     

    Kant : "Il faut accepter en sachant pourquoi on accepte les choses".

     

    La culture (=le mouvement d'arrachement à la Nature), c'est la liberté.

    L'Homme a la capacité de faire ce qu'il veut. C'est une liberté première au choix.

     

    => Faut-il accepter en sachant pourquoi on accepte ou être sous tutelle ?

     

    Être sous tutelle revient à :

    * Choisir la paresse et la lâcheté, selon Kant. Car c'est ce qu'il y a de plus FACILE et de plus COMMODE.

     

    Tous les hommes partage cette liberté première de choisir car tous les hommes possèdent la raison, selon Descartes.

     

    Kant dit : "Mais que faisons-nous de cette raison ?"

    Il constate que les hommes ne font rien. Ils ne cherchent pas ou ont des difficultés à penser par eux-mêmes car l'Homme écoute et suit un maître car c'est tentant, facile, apaisant et rassurant (Kant).

     

    * Choisir les Lumières demande de faire des efforts, dit Kant : "La varie vie, c'est faire l'effort de penser par soi-même".

    => C'est être soumis à la critique (Kant).

     

    Socrate dit que interroger la culture, c'est remettre en cause l'activité de penser.

     

    Kant dit : "Aie le courage de penser par toi-même".

     

    Les Lumières disent d'apprendre à user de l'entendement.

    => Il faut apprendre aux hommes le courage (Kant).

     

    Mais comment apprendre le courage aux hommes ?

     

    C'est COMPLIQUÉ pour 2 raisons :

    1- Pour enseigner le courage, il faut avoir une bonne définition du courage.

                                                     Mais quelle est la bonne ?

     

    2- Les maîtres enseignent le courage.

     

                       Mais comment un maître a-t-il eu l'idée du courage ?

     

    Philosopher, c'est avoir le courage de penser par soi-même.

     

    La vertu qui ici est le courage dans Lachès de Platon.

    Dans cet ouvrage, Platon se demande ce qu'est le courage.

    => C'est compliqué d'enseigner le courage.

     

    Beaucoup d'individus autres que des soldats revendiquent le courage.

     

    Lachès dit que "le courage est une fermeté d'âme".

    Cette définition ne renvoie pas à une possession d'une force.

    Pas besoin donc d'être fort pour être courageux.

    => Être courageux, c'est la capacité à tenir une décision (=c'est la fermeté d'âme). Ex : La promesse.

     

     

    Exister = avoir le courage de penser par soi-même.

    Le courage = forme de fidélité à soi-même.

     

    Platon va rajouter une autre caractéristique au courage :

    Il faut que cette fermeté d'âme soit accompagnée de la conscience, des dangers et des impasses possibles.

    Ex : On peut se marier sans avoir conscience du danger possible. Certes, le mariage est une forme de promesse mais il faut prendre conscience de l'échec possible ; l'échec de ne pas tenir son engagement qui a été celui de dire "Oui, je le veux".

     

    La témérité = celui qui fait des actions dangereuses en n'ayant pas conscience du danger et en n'ayant pas peur du danger possible.

    => C'est un défaut.

     

    Le courage = celui qui a conscience des actions dangereuses possibles.

     

     

    CONCLUSION :

     

    Philosopher, c'est faire les preuves que l'Homme est une question à lui seul : il ne va pas de soi d'être un homme et de réaliser son humanité.

    L'Homme peut échouer dans sa quête de l'humanité.

    L'Homme ne peut pas se contenter de ses données naturelles : il considère la liberté comme pouvoir de se déterminer par soi-même.

    L'Homme ne peut pas se contenter de se définir par les coutumes, les préjugés,..., par les groupes (= les sociétés) dans laquelle il vit.

    Il s'agit d'une liberté angoissante car l'Homme ne sait pas à l'avance ce qu'il va devenir : c'est ce que l'on appelle l'ignorance.

    Cet usage de l'esprit met en jeu une vertu particulière qui est le courage.

    La pensée engage le désir.

    => Pour philosopher, il faut avoir le désir de le faire.

    Cette liberté humaine signifie une indétermination car il s'agit de chercher à se déterminer soi-même par soi-même.

    Exister, ce n'est pas se renfermer sur soi-même pour savoir qui on est.

    Il faut une relation à autrui, au monde, à soi et à la vérité ainsi qu'au bien.

     

     

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